On the morning, we perform the CTD-Rosette water
sampling as planned, but during one short transfer, the echosounder detect a
gas flare under the ship. This kind of process are known in this region, and
this is an opportunity for the scientist crew to collect more information about
that.
So a change of plan was decided ! The OFOS was
immediately sent to record movie of the ocean floor. We hope to see the gas
venting origin. During nearly 2 hours, we shoot pictures of sediments, plenty
of small shrimps, some fishes, but no gas bubbling...Head scientists had to
think about the planning, and it has been decided to perform water analysis,
and then 1 (maybe 2) sediment coring. But the first coring arrives with half of
the tube empty of sediment. So we decide to immediately reload the MUC and send
it again. But when it came back, it was worse ! Indeed, the MUC lands on a
rocky surface, and so cannot collect any sediment. So we did it a third time
(each try take close to 1 hour...), with more success. Scientist get additional
samples but may be very inserting ones. Some were really stinky, due to massive
amount of hydrogen sulphur, smell like rotten eggs !
As we spend a lot of time, we immediately move to the
next scheduled CTD- station. We still have task to perform, and time is
shortening...
Dans
la matinée, il ya eu plusieurs mesures de la qualité de l'eau comme prévu, mais
à l'occasion d'un court transfert, le sondeur a détecté un panache de gaz sous
le bateau. Ce type de phénomène est connu dans l région, mais il y avait là une
opportunité à saisir pour que les scientifiques récupèrent plus d'informations
sur ce phénomène.
Du
coup, un changement de programme a été improvisé ! L'OFOS a été envoyé pour
tenter de filmer l'origine des gaz sur le plancher océanique. Durant presque 2
heures, on a enregistré des images des sédiments, de nuées de petites
crevettes, quelques gros poissons, mais pas de bulles de gaz....Les chefs
d'équipe ont du cogiter sur la marche à suivre, et il a été décidé de faire des
prélèvements d'eau, suivie de tentative (voire 2) de carottage de sédiments.
Mais quand le MUC est remonté la 1ère fois, la moitié des tubes étaient vides !
Il a été réarmé et lancé de nouveau, mais ce fut pire...En effet, il s'est posé
sur une surface rocheuse, et du coup n'a pas pu collecté de sédiment meuble !
Nous l'avons renvoyé une 3e fois (rappel : chaque tentative dure pratiquement 1
heure), cette fois-ci avec plus de réussite. Les scientifiques ont pu récupéré
des échantillons supplémentaires, mais peut-être plus intéressants. Certains
dégageaient une forte odeur de sulfure d'hydrogène, l'odeur des œufs pourris.
Comme nous avons utilisé davantage
de temps que prévu, nous avons immédiatement repris le planning initial, vers
le prochain point de prélèvement d'eau. Il reste beaucoup à faire, et le temps
disponible se réduit...
Cambio di programma…
Al mattino caliamo il CTD-Rosette water sampler come
previsto ma, durante un breve percorso di trasferimento, l’ecoscandaglio rileva
un pennacchio di gas sotto la nave. Questo tipo di fenomeno è conosciuto nella
zona ed rappresenta un’oppportunità, per il gruppo dei ricercatori, di
raccogliere più informazioni al riguardo.
Si decide quindi un
cambio di programma! Viene immediatamente calato l’OFOS (Ocean
Floor Observation System) per filmare il fondale marino. Speriamo di vedere
l’origine della fuoriuscita di gas. Per circa due ore registriamo immagini dei
sedimenti, molti piccoli gamberi, alcuni grossi pesci, ma niente bolle di gas…
I capo-ricercatori devono programmare cosa fare: si decide di effettuare
analisi delle acque e poi 1 (forse 2) carotaggi dei sedimenti. Il primo
carotaggio si conclude con metà dei tubi vuoti, così si decide di ricaricare
immediatamente il MUC (Multi-Corer) e di calarlo di nuovo. Quando esso viene
recuperato, va ancora peggio! Infatti il MUC si è posato su una superficie
rocciosa e quindi non ha potuto raccogliere nessun sedimento. Così facciamo una
terza calata (ogni tentativo dura quasi un’ora…), questa volta con maggior
successo. I ricercatori recuperano altri campioni, forse ancora più
interessanti. Alcuni liberano un forte odore di solfuro di idrogeno (acido
solfidrico), l’odore delle uova andate a male.
Visto che abbiamo impiegato più tempo del previsto,
dobbiamo subito riprendere il programma iniziale verso il prossimo punto di
campionamento del CTD. Rimane molto da fare ed il tempo a disposizione è sempre
meno…
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